L’environnement est au cœur de toutes les préoccupations à l’échelle planétaire. Et comme les experts ont eu la fermeté de l’affirmer, la pauvreté accroit la vulnérabilité des pays aux effets des changements actuels. Notre jeune Bénin est bien sur cette liste de pays où les besoins fondamentaux de l’homme ne sont pas satisfaits pour une large partie de la population. Cet état fait des problèmes environnementaux, des préoccupations relayées au second plan. Les populations à la base sans alternatives ou par ignorance (pratiques ou cognitives) continuent d’user de façon abusive de l’environnement et la nature pour trouver leur gagne-pain. Conséquences, les maladies hydriques et le paludisme en particuliers continuent à faire des victimes, la désertification gagne du terrain, la biodiversité décline, le climat change, les activités humaines deviennent pénibles (agriculture) et la misère s’accentue. Le paradoxe, les populations autochtones sont (en partie) à la fois responsables et victimes de conséquences de leurs abus envers la nature. En effet, les connaissances liées au concept de protection de l’environnement sont très peu connues, rependues ou admises par les générations actuelles. Au risque de ne pas agir trop tardivement, l’éducation à l’environnement et à la nature à l’endroit des jeunes générations est une porte de sortie de ce cercle vicieux.

Ainsi ABED propose des activités diverses tels que :

Animation du programme En-Vie-pour-Tous "Environnement et la nature pour tous avec les membres du club CPN "la lune" à Abomey-Calavi